Dans l'encalvedesmontagnes du haut atlas;se terent les maisons du village d'ait hamza cacher deriere les branches des noyer;les demeures séculaires enfouissent les secrets de leur mémoire. L'oued de la tassaout roule ses eaux limpides sur ses gros galets.

Au détour d'un sdntier, l'on découvre les modestes batisses dj humeau.

Silence, tiéde somnolence, Les femmes song au champs, les hommes au souk

et les enfants, bras ballants, ont le regard ceux qu'on a oubliés .

Interpellés par le taleb, ils reviennent a leur tache.

A ce jour ;la terasse de la masure qui fait office d'école coranique est baignée par un soleil printanier.

Un tableau est accroché au mur.

Les enfants, serrés les uns contre les autres, psalmodient dans un blancement hypnotique,

les sourates du coran.Ils tiennent les planches comme des miroirs dociles puis

s'en détachent et regardent la façades hostile de la montagne. Les yeux absent ou trop consternés,

ils se rappellent peut-etre la chut fatale d'une petite fille du village.

Deriére la montagne, continue le lacis des sentiers surmontant cols,

paturages et refuges de bergers.Là-bas,trés loin,on arrive a Ouarzazate,

de l'autre coté,à marrakech,aprés des heures de marche et des heures de route goudronée.

                                          Le sourire des oubliés.

*mohamed rbayae. un jeune de ce village.